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5 mai 2007

:: L'informatique de demain, elle fera le café quand je le voudrais ? Connard faut des capteurs dans ton cul pour ca !

L’informatique de demain, l’outil de l’homme, pour construire demain.

Depuis la naissance du paradigme objet, en fait depuis Socrate, Aristote et leurs disciples, l’homme est capable de tout conceptualiser. Il est capable, grâce aux connaissances qu’ils ont apportés, d’abolir les frontières des dogmes religieux par exemple.

On peut dire que c’est la science, mais c’est encore au-delà. La science est ici un outil.

La sémantique générale (sg) est l’outil qui permet à l’homme de concevoir, conceptualiser les choses afin de les réaliser. C’est ce qui fait que lorsque un ingénieur conçoit un ouvrage architectural, tandis que c’est son métier, ce dernier ne s’écroule pas.

C’est pourquoi aussi, lorsque nos politiciens nous parlent, avec des mots approximatifs, autant simples facteurs que dénominateurs des consciences unitaires des gens écoutant pour former leurs opinions, avec leurs propres vécus, tout s’écroule. Ils ne parlent pas, eux, ce language (je ne parle pas ici du language mathématique, mais du language de la sg).

Tout ceci menant à une chose, le chaos. Alors que tous parlent un même language.

Rappelez vous que les scientifiques parlent un même language, les mathématiques, et que leurs ouvrages ne s’effondrent pas, ou peu ou sous de fortes contraintes, ramenant la réponse à la question pourquoi ça s’est effondré : parce que c’était sous dimensionné à l’évènement qui s’est produit. Ce n’est qu’un exemple.

Il y a donc un language, plus haut, de plus haut niveau.

Moi qui pensais les mathématiques êtres un filtre de la réalité, ce n’est en fait qu’un outil créé par l’homme, pour répondre à ses interrogations sur ce qui est, comment c’est, pourquoi c’est, …

L’homme ne voit les choses que par ses « capteurs », l’œil, les nerfs, … le tout est traité par une zone qui secoue le tout est pond quelque chose dans notre esprit. Cette chose est la représentation de ce que l’on voit. Par extension, nous ne voyons rien, ne faisant que percevoir.

De la, on peut allez loin, il faut savoir garder certaines limites.

De la d’ailleurs partent les délires telles que matrix, i-robot et autres plus célèbres…

Pour revenir au sujet de ce post, il s’agit de postuler plusieurs choses, ce sont éléments que devront remplir les solutions informatiques de demain.

  1. Un système doit être entièrement dynamique et reconfigurable à souhait
  2. Un système doit prendre en compte le sens des choses, dans la manière qu’elles sont dites
  3. Un système doit répondre aux requêtes des utilisateurs par rapport à son contexte d’origine (une entreprise aura un système d’information lui étant destinée, représentant une entreprise comme elle-même : cette entreprise là !).
  4. Un système doit être capable de trouver les concepts bijectifs des autres domaines pour résoudre une portée à laquelle elle ne peut répondre dans son contexte d’origine. Et proposer les solutions possibles à l’utilisateur.

            

Ceci à quelles fins ?

Imaginez un programme qui puisse instantanément, ou sans peu de code, s’interfacer avec n’importe que système hardware :

Source d’entrée : clavier, souris, stimuli connectés au cerveau, wiimote  ninchunk, manette ps3, …

Source de sortie : écran, web, feuille, graphique, imprimé, application, portable cellulaire Internet, portable cellulaire application javame, application .net, java, flash, dhtml, …

Imaginez, que simplement vous puissiez de vous-même simplement relier vous commandes préférés avec celles de votre système d’information, et ainsi depuis votre télécommande ps3 wifi, commander votre système d’information afin qu’il réponde à vos désirs.

Ça, c’est le programme, le système du futur.

Le système qui simplement peut intégrer tout et n’importe quoi, et le prendre en considération dans un contexte globale.

Imaginez votre programme de gestion, un modèle fermé. Imaginez maintenant qu’il soit ouvert, qu’il puisse intégrer vos propres demandes, en réalisant les fonctions que vous souhaitez ou vous le souhaités : ajouter une propriété à un produit qui lui est propre et unique : aucun autre produit ne la. Vous ne pouvez pas, dommage.

Le système du futur vous permet d’ajouter n’importe quel concept à n’importe quel autre, en le liant par un rôle. Quel rôle joue ce composant dans sa relation avec ce composé ?

Le lien est sémantique ! Il apporte du sens à un concept, qui n’est qu’une entité définie pour un ordinateur, ni plus ni moins. Le sens est subjectif, rapporté par la personne d’après son propre contexte existentielle. Ici, il n’y a que peu de sens qui valent:

1.      tout est généralisation d’une chose,

2.      une chose est unique par définition

3.      une chose est intemporelle

Ces sens sont définis d’un point de vue système d’information, bien sûr.

Pour un système d’information, l’information est primordiale, elle doit pouvoir être traitée dans toutes les dimensions. Afin d’en tirer le maximum d’information possible et sensible.

Quel intérêt ? Celui qu’on veut bien lui donner ! A nous de créer notre propre système d’information ! De le connecter à d’autres systèmes d’informations, etc.… de créer NOTRE Seconde Life !

De la même manière, il est possible d’ajouter autant de vues que possibles à une chose : liste, affichage en icônes, par vignette, en 2d, en 3d, localisation géographique 2d, 3d, …

Bref, en instanciant votre système d’information (en le mettant en marche et le configurant de manière appropriée afin de remplir les objectifs cités ci après) vous pourriez voir votre entreprise sur google earth™, et d’un double clique y pénétrer et voir vos produits dans le show room virtuel de votre entreprise (créé par votre système d’information, par une implémentation d’une interface de sortie du système d’information de l’entreprise).

Évidement, cela demande d’avoir fournis un modèle 3D de vos produits, de même que pour vos locaux d’entreprise. Ou pas. On peut généraliser tout concept… Une simple image avec un texte générer d’après le nom de l’entreprise peut suffire, dans un premier temps…

Ceci ouvre de nouveaux marchés, entre autres….

Le système du futur vous permet, d’un simple glisser déposer, d’ajouter un ordinateur dérivant d’une classe d’ordinateurs supérieure à votre parc informatique, et ainsi lui faire profiter simplement des règles que vous avez déjà configurés pour vos postes acolytes et déjà en production (comprendre en cours d’utilisation).

Bref, le système du futur permet de gérer son parc informatique et son système d’information ad hoc.

Tout ceci rejoint mon projet bien sûr, c’est un peu pour en faire la pub, permettez =)

Avec ce système, tout est conceptualisable et interfacable avec autre chose, de plus matériel (du hardware, un robot répondant à des invoke de méthodes, …).

Le tout reste intégré au domaine, faisant lui-même un autre tout. Qui peut être connecté à un autre tout, rappelons le. Grâce à son fonctionnement, il peut aisément fournir une interface de lui-même, suivant qui le lui demande, etc.… ceci regarde l’implémentation des choses.

Justement, côté implémentation, tout reste possible. Tout est interfacé, il suffit de spécialiser et d’implémenter, de tester puis de compiler pour étendre soi même son système.

Tout est compris, tous les outils nécessaires, tout.

On modifie le modèle suivant nos propres besoins, rendant ce modèle unique au monde, sans écrire une ligne de code, le tout reste entièrement intégré.

Je peux exécuter des recherches multicritères sur mon domaine, même avec des termes bijectifs (d’un autre domaine, mais en rapport direct ou de plus bas niveau avec le domaine instancié par le système), le système comprendra de quoi je parle (patients d’une entreprise ? non tu parles des clients de ta boite de négoce de fringue en fait !)…

Les rapports que je créés sont dynamiques, toutes valeurs les composants (étant tous pour la plupart des agrégats) subissant une modifications impliquent une réévaluation de l’équation.

Ainsi les graphes se voient modifiés dynamiquement. Les patrons regardent le chiffre d’affaire grimpé au jour le jour par rapport au mois.

Et ceci aurait été réalisé simplement.

À continuer…

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