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bl0g d'un g33k

8 mai 2007

:: Méta & Quantique, êtes-vous liés ?

Ce post met en place certaines bijections que je pense vrai entre le monde aristotélicien et le monde "réel".

Il faut pour mieux le comprendre lire un article de Jérôme Legras consultable ici : http://esgs.free.fr/fr/art/jl1.htm

Il faut aussi bien comprendre les outils de la sémantique générale, que vous pouvez apprendre ici : http://esgs.free.fr/fr

Monde Aristotélicien (Aristote, Euclide, Newton)

Quantification : Toute chose peut avoir une valeur continue dans l’espace et le temps

            Ex : U=R*I indique des constantes, dans ce domaine, U, R et I ne changeront pas tant que l’un d’eux n’aura pas changer.

Dualité Onde Particule : en mécanique classique, onde et particule sont des concepts distincts.

Une onde n’est pas une particule et vice versa : la pierre tombe dans le lac et produit une onde. Le fuselage de l’avion produit une onde (un vertex) qui peut le déstabiliser si rien n’est fait contre ce sens.

Principe d’incertitude d’Heisenberg : une incertitude fondamentale empêche la mesure exacte simultanée de deux grandeurs conjugués (c’est oublier les SGBDR).

Il est notamment impossible d’obtenir une grande précision sur la mesure de la vitesse d’une particule sans obtenir une précision médiocre sur sa position, et vice versa. Cette incertitude est structurelle et ne dépend pas du soin que prend l’observateur à ne pas déranger le système. Elle constitue une limite à la précision de tout instrument de mesure.

Il faut ici comprendre qu’il est impossible de tout prendre en compte en un tout en un.

Le principe d’une nature qui joue aux dés : si l’évolution d’un système est bien déterministe (fonction d’onde régie par l’équation de Schrödinger), la mesure d’une observable  d’un système dans un état donné connu peut renvoyer aléatoirement une valeur prise dans un ensemble de résultats possibles.

L’observation influe sur le système observé : au cours de la mesure d’une observable, un système quantique voit son état modifié. Ce phénomène, appelé « réduction du paquet d’onde » , est inhérent à toute mesure et ne dépend pas du soin pris par l’observateur à ne pas déranger le système.

La non-localité ou intrication : des systèmes peuvent êtres intriqués de sortes qu’une interaction en un endroit du système a une répercussion immédiate en d’autres endroits. Ce phénomène contre dit en apparence la relativité restreinte pour laquelle il existe une vitesse limite de propagation de toute information, la vitesse de la lumière ; toutefois la non-localité ne permet pas de transférer de l’information.

La contra factualité : des évènements qui auraient pu se produire, mais qui ne se sont pas produits, influent sur les résultats de l’expérience.


Monde quantique (A. Kzerbosky) :

Quantification : indice

Dualité onde - corpuscule : Non-toutité - Non-identité

Principe d’incertitude : fondé sur le fait qu’il n’arrive pas à lier les choses de niveaux d’abstractions différentes. Ceci est rendu possible car :

Le système permet de créer une image à 4 dimensions d’un système (espace-temps-intension-extension) dans un contexte précis

            Le système permet d’aplatir l’image. Il existe un programme final réel établit, compilé, instancié qui représente un état donné seulement d’un système dans un contexte précis = c’est résoudre l’équation ? Le truc c’est que l’équation, étant dynamique, n’est pas écrite par avance mais construite par le moteur, qui réveille l’objet concerné. D’ailleurs c’est mm pas le moteur qui réveille l’objet concerné, mais quelque chose d’autreJ).

Principe d’une nature qui joue aux dés : je n’ai pas vraiment encore réfléchi à ceci, cependant, par induction je peux y voir quelque chose comme :

            L’utilisateur, premier facteur du S.I., utilise mal ce dernier (qui est un outil, qu’il faut par conséquent maîtriser pour en tirer pleine partie. Même si celui-ci reste très adaptable, il faut toutefois savoir comment lier les concepts entre eux, afin justement d’adapter le système, …c’est l’humain qui créer la circularité ? lol).

Observation influe sur le système observé : quand un utilisateur va demander à lire quelque chose, cela peut influer sur le système : logging, …

Non-localité, intrication : un système est une matrice à n-dimensions. Chaque dimension est un niveau d’abstraction, chaque sous niveau est un outil d’un niveau. Chaque lien représente un degré. Il peut y avoir une infinité de degrés. Une case d’une matrice peut se connecter à n’importe quel autre case : c’est le lien que créer l’utilisateur pour lier les concepts entre eux.

Suivant le type de lien, le comportement général et spécial est différent d’autre chose similaire (un autre lien de la même case vers une case différente).

Un lien représente un lien sémantique (parent, enfant, composition, agrégation, interface, …).

Contra factualité : des évènements qui auraient pu se produire, mais qui ne se sont pas produits.

En visualisant mon système en production, je peux imaginer cette image (conceptuelleJ): l’utilisateur pose une question mal formalisée au système. Celui-ci ne comprend pas vraiment et tente de trouver ce à quoi réfère la question : trouver la réponse.

En appliquant l’équation, le moteur renvoi une liste de possibilités de ce que souhaite l’utilisateur, en lui notifiant par la même les mots qui ont été ou qui peuvent mal avoir été interprétés par le S.I. (fonction heuristique).

En d’autres termes, cette notion découle un peu du facteur humain, ou pas :

Suivant la question, le système donne des réponses qui ne peuvent être classés que par leur pertinence directement en rapport avec la question, formalisée par l’utilisateur  qui est en général un humain.

            

C’est bien notre vision du monde qui est Aristotélicienne. Le monde lui est bien quantique.

Toute chose est quantique.

Il faut réapprendre à voir les choses suivant la vrai nature des choses. Tout est quantique.

C’est juste notre perception de l’instant, et cette non prise en compte de l’espace-temps qui nous à conduit à ne pas prendre en compte la transformation des choses.

Ce point de vue, en l’utilisant comme base de tout programme permet d’en rendre la conception facilement. C’est ce que réalise Microsoft avec son cadre applicatif .Net dans sa version 3.

En effet ce dernier permet de lier des composants d’applications entre eux d’après leur version. C’est le rôle de l’Assembly d’organiser le programme comme indiqué dans son code.

L’Assembly est un composant du cadre applicatif inventé par Microsoft.

En généralisant ce concept à tout, ils permettent de créer un programme qui peut être plus que ce que veut bien le programmeur.

En croisant les éléments entre eux, ont peut créer une matrice, représentant tous les degrés d’utilisation possibles des éléments les uns avec les autres.

De cette manière, et grâce au paradigme objet (héritage, polymorphisme et certaines manières de programmer mises en place dans des méta modèles plus dans le moteur pour générer à la voler le S.I. suivant les désires de l’utilisateur), on peut générer des objets qui auront des comportement eux aussi générés. Il doit toutefois être possible de ré implémenter la chose et même de la spécialiser, etc.

Ca, c'est comment on réalise l'informatique de demain.

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5 mai 2007

:: L'informatique de demain, elle fera le café quand je le voudrais ? Connard faut des capteurs dans ton cul pour ca !

L’informatique de demain, l’outil de l’homme, pour construire demain.

Depuis la naissance du paradigme objet, en fait depuis Socrate, Aristote et leurs disciples, l’homme est capable de tout conceptualiser. Il est capable, grâce aux connaissances qu’ils ont apportés, d’abolir les frontières des dogmes religieux par exemple.

On peut dire que c’est la science, mais c’est encore au-delà. La science est ici un outil.

La sémantique générale (sg) est l’outil qui permet à l’homme de concevoir, conceptualiser les choses afin de les réaliser. C’est ce qui fait que lorsque un ingénieur conçoit un ouvrage architectural, tandis que c’est son métier, ce dernier ne s’écroule pas.

C’est pourquoi aussi, lorsque nos politiciens nous parlent, avec des mots approximatifs, autant simples facteurs que dénominateurs des consciences unitaires des gens écoutant pour former leurs opinions, avec leurs propres vécus, tout s’écroule. Ils ne parlent pas, eux, ce language (je ne parle pas ici du language mathématique, mais du language de la sg).

Tout ceci menant à une chose, le chaos. Alors que tous parlent un même language.

Rappelez vous que les scientifiques parlent un même language, les mathématiques, et que leurs ouvrages ne s’effondrent pas, ou peu ou sous de fortes contraintes, ramenant la réponse à la question pourquoi ça s’est effondré : parce que c’était sous dimensionné à l’évènement qui s’est produit. Ce n’est qu’un exemple.

Il y a donc un language, plus haut, de plus haut niveau.

Moi qui pensais les mathématiques êtres un filtre de la réalité, ce n’est en fait qu’un outil créé par l’homme, pour répondre à ses interrogations sur ce qui est, comment c’est, pourquoi c’est, …

L’homme ne voit les choses que par ses « capteurs », l’œil, les nerfs, … le tout est traité par une zone qui secoue le tout est pond quelque chose dans notre esprit. Cette chose est la représentation de ce que l’on voit. Par extension, nous ne voyons rien, ne faisant que percevoir.

De la, on peut allez loin, il faut savoir garder certaines limites.

De la d’ailleurs partent les délires telles que matrix, i-robot et autres plus célèbres…

Pour revenir au sujet de ce post, il s’agit de postuler plusieurs choses, ce sont éléments que devront remplir les solutions informatiques de demain.

  1. Un système doit être entièrement dynamique et reconfigurable à souhait
  2. Un système doit prendre en compte le sens des choses, dans la manière qu’elles sont dites
  3. Un système doit répondre aux requêtes des utilisateurs par rapport à son contexte d’origine (une entreprise aura un système d’information lui étant destinée, représentant une entreprise comme elle-même : cette entreprise là !).
  4. Un système doit être capable de trouver les concepts bijectifs des autres domaines pour résoudre une portée à laquelle elle ne peut répondre dans son contexte d’origine. Et proposer les solutions possibles à l’utilisateur.

            

Ceci à quelles fins ?

Imaginez un programme qui puisse instantanément, ou sans peu de code, s’interfacer avec n’importe que système hardware :

Source d’entrée : clavier, souris, stimuli connectés au cerveau, wiimote  ninchunk, manette ps3, …

Source de sortie : écran, web, feuille, graphique, imprimé, application, portable cellulaire Internet, portable cellulaire application javame, application .net, java, flash, dhtml, …

Imaginez, que simplement vous puissiez de vous-même simplement relier vous commandes préférés avec celles de votre système d’information, et ainsi depuis votre télécommande ps3 wifi, commander votre système d’information afin qu’il réponde à vos désirs.

Ça, c’est le programme, le système du futur.

Le système qui simplement peut intégrer tout et n’importe quoi, et le prendre en considération dans un contexte globale.

Imaginez votre programme de gestion, un modèle fermé. Imaginez maintenant qu’il soit ouvert, qu’il puisse intégrer vos propres demandes, en réalisant les fonctions que vous souhaitez ou vous le souhaités : ajouter une propriété à un produit qui lui est propre et unique : aucun autre produit ne la. Vous ne pouvez pas, dommage.

Le système du futur vous permet d’ajouter n’importe quel concept à n’importe quel autre, en le liant par un rôle. Quel rôle joue ce composant dans sa relation avec ce composé ?

Le lien est sémantique ! Il apporte du sens à un concept, qui n’est qu’une entité définie pour un ordinateur, ni plus ni moins. Le sens est subjectif, rapporté par la personne d’après son propre contexte existentielle. Ici, il n’y a que peu de sens qui valent:

1.      tout est généralisation d’une chose,

2.      une chose est unique par définition

3.      une chose est intemporelle

Ces sens sont définis d’un point de vue système d’information, bien sûr.

Pour un système d’information, l’information est primordiale, elle doit pouvoir être traitée dans toutes les dimensions. Afin d’en tirer le maximum d’information possible et sensible.

Quel intérêt ? Celui qu’on veut bien lui donner ! A nous de créer notre propre système d’information ! De le connecter à d’autres systèmes d’informations, etc.… de créer NOTRE Seconde Life !

De la même manière, il est possible d’ajouter autant de vues que possibles à une chose : liste, affichage en icônes, par vignette, en 2d, en 3d, localisation géographique 2d, 3d, …

Bref, en instanciant votre système d’information (en le mettant en marche et le configurant de manière appropriée afin de remplir les objectifs cités ci après) vous pourriez voir votre entreprise sur google earth™, et d’un double clique y pénétrer et voir vos produits dans le show room virtuel de votre entreprise (créé par votre système d’information, par une implémentation d’une interface de sortie du système d’information de l’entreprise).

Évidement, cela demande d’avoir fournis un modèle 3D de vos produits, de même que pour vos locaux d’entreprise. Ou pas. On peut généraliser tout concept… Une simple image avec un texte générer d’après le nom de l’entreprise peut suffire, dans un premier temps…

Ceci ouvre de nouveaux marchés, entre autres….

Le système du futur vous permet, d’un simple glisser déposer, d’ajouter un ordinateur dérivant d’une classe d’ordinateurs supérieure à votre parc informatique, et ainsi lui faire profiter simplement des règles que vous avez déjà configurés pour vos postes acolytes et déjà en production (comprendre en cours d’utilisation).

Bref, le système du futur permet de gérer son parc informatique et son système d’information ad hoc.

Tout ceci rejoint mon projet bien sûr, c’est un peu pour en faire la pub, permettez =)

Avec ce système, tout est conceptualisable et interfacable avec autre chose, de plus matériel (du hardware, un robot répondant à des invoke de méthodes, …).

Le tout reste intégré au domaine, faisant lui-même un autre tout. Qui peut être connecté à un autre tout, rappelons le. Grâce à son fonctionnement, il peut aisément fournir une interface de lui-même, suivant qui le lui demande, etc.… ceci regarde l’implémentation des choses.

Justement, côté implémentation, tout reste possible. Tout est interfacé, il suffit de spécialiser et d’implémenter, de tester puis de compiler pour étendre soi même son système.

Tout est compris, tous les outils nécessaires, tout.

On modifie le modèle suivant nos propres besoins, rendant ce modèle unique au monde, sans écrire une ligne de code, le tout reste entièrement intégré.

Je peux exécuter des recherches multicritères sur mon domaine, même avec des termes bijectifs (d’un autre domaine, mais en rapport direct ou de plus bas niveau avec le domaine instancié par le système), le système comprendra de quoi je parle (patients d’une entreprise ? non tu parles des clients de ta boite de négoce de fringue en fait !)…

Les rapports que je créés sont dynamiques, toutes valeurs les composants (étant tous pour la plupart des agrégats) subissant une modifications impliquent une réévaluation de l’équation.

Ainsi les graphes se voient modifiés dynamiquement. Les patrons regardent le chiffre d’affaire grimpé au jour le jour par rapport au mois.

Et ceci aurait été réalisé simplement.

À continuer…

24 avril 2007

:: S.I. & Instantiation de modèle :: idée finale ?

Un programme est l'instance d'un modèle.
Deux programmes de gestion qui sont différents (de sociétés différentes) sont des modèles différents.
Ils appartiennent cependant au même domaine.
Une société qui utilise deux fois le même programme instantie deux fois un même modèle.

Bon et alors ?
Un programme qui est le programme !

Le principal probème en entreprise est la diversité des outils utilisés pour résoudre les différents problèmes du domaine.
Chaque programme à son propre modèle, ce qui est normal, mais il réinvente souvent la roue, ou n'est pas interopérable, ou n'est pas interfacable. Bref, il faut gérer des programmes différents qui ne sont pas fait pour interopérer les uns avec les autres.
Et combien même ils sont interopérable, c'est uniquement grâce à l'export brute au format excel ou similaires.
Au final, il y a plusieurs problèmes : créer des "wrappers" qui vont recevoir toutes les données nécessaires pour en filtrer l'info nécessaire; des programmes qui sont sourds et muets et qui ne veulent pas coopérer : propre catalogue de "Clients" => deux bases de données de Client (sisi c'est possible...) par programme. Scandaleux !

La solution ? Elle est devenue simple de nos jours.

Grâce à l'évolution des outils de programmation qui ont atteind un niveau de maturité presque total.

Moi, j'amène le reste :

Au final, le système d'information d'une entreprise (donnons lui un nom) doit être entièrement dynamique.
Un environnement de développement de système d'information.
Ainsi le responsable manage le S.I. comme un programme, et la moindre modification du modèle est répercuté après sauvegarde. C'est tout simplement un programme.

Apportons les notions de topologie réseau et d'ontologie de domaine, et alors nous avons un produit complet:

-modele de l'existant (réseau d'ordinateur expoitant le logiciel & domaine d'activité de l'acquéreur exploiteur)
-moteur d'exécution sur l'existant (permet aisément d'exécuter des requêtes formulées en language naturel -écrit, oral, pensé) : une requête peut alors être "afficher le meilleur vendeur du mois" ou "quelle est la rentabilité de Mr. X ?"

Qui n'en a pas envie ?

24 avril 2007

Et si ... ?

Et si on donne deux bulletins de vote ?

L'un pour l'idée, l'autre pour l'utilité.
Mwé bon et alors ?

On voit bien dans l'actualité qu'il y a deux manière de voté : l'idée et l'utile.
C'est vrai quoi tout le monde en parle, surtout dans les médias !

Le concept du vote est d'élire une personne par rapport à ses idées.
Ah beh qu'est ce que tu me raconte alors ?!

Seulement, vu que les gens sont pour la plupart cons pas très intélligent (et ce n'est pas forcément leurs fautes), et ne savent pas faire la part des choses.....STOOPPP!

Ok, ils ne savent pas faire la part des choses... autant alors leur apprendre directement qu'un vote a un sens uniquement lorsqu'on respecte le sens du vote jusque dans ses actes.

SOYEZ RESPONSABLES !!

VOTEZ POUR VOS IDEES !!! NON LES LEURS !!!

Vous ne me comprenez pas ? Une petite analogie s'impose :

  1. Vous devez vous acheter une pair de chaussure neuve
    C'est les éléctions, il faut voter !
  2. Vous entrez chez un marchand de chaussure, et ecoutez ses conseils tout en testant la marchandise
    Vous vous renseignez sur les idées et propositions d'un candidat.
    Concernant l'essai, c'est bien dommâge je suis d'accord...Il faut pouvoir s'imaginer les effets et c'est compliqué.
  3. Vous n'etes pas satisfait, vous le remerciez et allez ailleurs
    Vous n'etes pas satisfait, vous jettez le prospectus ou arretez les recherches
  4. Vous recommencez l'étape 2 jusqu'à trouver chaussure à votre pied.

Je considère qu'il faut avoir un problème à quelques niveaux pour acheter si l'on est pas satisfait.
Aussi je comprends que l'on peut se faire tromper.
C'est là qu'il devient important de bien se renseigner avant achat...
Et de savoir faire la part des choses : ramenons tout ceci au contexte électoral.

De gros enjeux ! Quels enjeux ! Exercer le rôle de Président de la République Française.

Autant dire que la manipulation est de rigueur. D'où, je ne peux le dire, ni ne le veux.
Je ne fais qu'analyser les éventualités. Et y en a trop !!!!!!

Revenons en donc aux médias. Ils nous parlent bien du vote utile plus que du vote de l'idée.

ON S'EN MOQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Quelles idées ? Par exemple, SMIC à 1500€ par mois (mdr...) pour l'un on sait pas quand, pour l'autre c'est pour dans 5 ans qu'on nous dit. l0ol.

ON S'EN MOQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je m'explique.
De nos jours, le monde est régie par une chose : le marché de l'offre et de la demande.
En d'autres termes, l'économie.
T'es productif ? C'est pas bien ! T'es hyper productif ? J'aurais la même chose en Inde en payant 1/3 en moins, ciao.

ON S'EN MOQUE MOINS LA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Euh...

Je suis un homme !! Pas une monnaie d'échange !
On pourrait aller plus loin en parlant de prostitution intellectuelle ou manuel lol...Mais non, ce n'est pas son sens. Je suis consentant...culturellement consentant !!!!!!!!!!!!!!!
Ce n'est pas naturel pour un homme de travailler. Mais c'est un autre problème...supérieure.

Bien des personnes ont compris cela avant moi... Même en les écoutants, je ne pouvais pas me rendre compte de tout ceci.
Il faut s'en rendre compte par soi même.
Si on ne le veut pas, il y a sûrement des raisons, d'ordres différents (personnel, culturel, ...).
Je penses qu'aucune raison ne peut être assez juste pour ne pas considerer l'évolution à laquel nous faisons face aujourd'hui. Et analyser que nous agissons mal, très mal.

Si on se bouge pas hier, après demain on s'prendra tout dans la gueule. Et ca pourra pas être bon...

P.S.: j'ai voté utile...

20 avril 2007

Le S.I. Industrialisé ? Avancé du projet : sketch d'IHM.

La méta, méta, méta programmation ? Et apres ?!
Beh la méta, méta, méta, méta programmation gros beta (...)

Bon voici un sketch de l'interface de mon projet.
On programme des concepts ici, rien d'autre (de la prog oo quoi... :)

IHM_Co____vue_1IHM_Co____vue_2

Bien sûr on peut aller fouiller plus en profondeur si besoin ... Vous croyiez quoi ? =D
Au concept, on ajoute le sens.

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7 mars 2007

Le Système d'Information Industrialisé ?

Salut à tous !
Je viens vous faire part d'un de mes projets : un atelier de génie de système d'information.
Ah! C'est beau ca ? Ca fait quoi ?
Imaginez un administrateur réseau modifiant la configuration de son parc informatique par la modification d'un diagramme visuel UML et de ses propriétés. Le rêve ? Pas encore !
Imaginez le au début : il a modéliser son parc informatique et a pu le déployer plus que simplement : son poste de modélisation s'est transformé en poste de déploiement et a permis le démarrage de l'installation des postes de l'entreprise à partir du réseau, se connectant tous alors au serveur pour récuperer l'image du système d'exploitation et la configuration initiale. Une fois redémarrés, les postes clients sont à même de proposer les outils fournient par le Système d'Information de l'entreprise : identification des utilisateurs, menu de navigation à travers les outils accessibles à la personne connectée et identifiée, tableau de bord affichant les données accessibles à l'utilisateur et ayant subit une modification depuis sa derniere déconnexion.
Les possibilités sont énormes

Continuez de rever : une autre partie du projet permet de modéliser le Système d'Information d'une société à partir d'un diagramme (modèle fournit) comprenant la comptabilité générale et financiere, la gestion des ressources et actes (clients, employés, fournisseurs, produits et catalogues, droits, ... ; ventes, achats, promotions, soldes, ...) de l'entreprise et son management, à votre imagination.

Tout ceci en un produit pourquoi pas ?

Je suis actuellement capable de proposer tout ceci, celà nécessitant tout de même de la recherche et du développement. C'est pourquoi je me suis lancé dans la création d'une entreprise. Je vais prendre du temps, chercher les bonnes formules et les bonnes personnes surtout.

Je suis donc actuellement en phase d'anté création d'entreprise. Je suis sur la Cote d'Azur et recherche toute personne humainement et financièrement apte à m'aider dans l'investissement nécessaire à la naissance de cette entreprise : je recherche des fonds d'investisseurs, pourquoi pas de bussiness angels =D.

A plus !

6 juin 2006

:: OpenLaszlo :: Connections Persistantes & Push :: 1er essai

Voilà, je viens de faire vite fait un "proof-of-concept" de ma connerie, c'est bien :D

J'ai pas mal repris des choses du tutoriel et des references (tapez connection et hop).
Le problème est qu'on se hurte aux groupes et noms d'utilisateur du système d'OpenLaszlo.
Il faut, pour modifier le nom d'un utilisateur ou son mot de passe (qui est enregistré en clair) le modifier simplement dans un fichier .xml se trouvant C:\Program Files\OpenLaszlo Server 3.2\Server\lps-3.2\WEB-INF\lps\config\lzusers.xml . Un AuthenticationServlet est fournit comme exemple, c'est aussi celui par défaut lorsque on ne fournit pas l'attribut authenticator du tag <connection /> . Il se trouve ici: C:\Program Files\OpenLaszlo Server 3.2\Server\lps-3.2\WEB-INF\classes (AuthenticationServlet.java et son bin)

Voici donc trois fichiers servant d'exemple.
(j'ai modifié mon fichier d'utilisateurs en ajoutant ceci:

     nom d'utilisateur ajouté : mot de passe lui correspondant

  1. poste02 : poste02
  2. server : serverpassword

en reprenant le code xml existant pour bien faire.

Comme dit dans le premier post, ces apps ne peuvent tourner en SOLO mode. Il faut pour tester obligatoirement avoir préalablement installer OpenLaszlo sur son ordi, charger trois fenetres du naviguateur internet differentes (-mozilla firefox rocks - important à cause des coockies), et demander au serveur OpenLaszlo ces trois fichiers dans un browser different donc.

Ensuite, une fois toutes lancées séparements (j'insiste), ils se connecteront et afficheront deux lignes dans le debug, comme quoi ils sont loggés et connectés. Maintenant, on peut appuyer sur le premier bouton send message pour envoyer un message à tout le monde.

le premier combo affiche statiquement les possibles autres clients, suit en dessous la liste des canaux. Par quel canal veut on faire transiter le message.

Juste en dessous, une boite de saisie permet la saisie de message stupides, et en dernier, trois boites servant respectivement à envoyer un message à tout le monde, au serveur, et au client séléctionné dans le premier combo box.

Voici les fichiers.

server.lzx

client.lzx

client12.lzx

6 juin 2006

:: OpenLaszlo :: Connections Persistantes & Push :: 1er essai

Voilà, je viens de faire vite fait un "proof-of-concept" de ma connerie, c'est bien :D
Le problème est qu'on se hurte aux groupes et noms d'utilisateur du système d'OpenLaszlo.
Il faut, pour modifier le nom d'un utilisateur ou son mot de passe (qui est enregistré en clair) le modifier simplement dans un fichier .xml se trouvant C:\Program Files\OpenLaszlo Server 3.2\Server\lps-3.2\WEB-INF\lps\config\lzusers.xml . Un AuthenticationServlet est fournit comme exemple, c'est aussi celui par défaut lorsque on ne fournit pas l'attribut authenticator du tag <connection /> . Il se trouve ici: C:\Program Files\OpenLaszlo Server 3.2\Server\lps-3.2\WEB-INF\classes (AuthenticationServlet.java et son bin)

Voici donc trois fichiers servant d'exemple.
(j'ai modifié mon fichier d'utilisateurs en ajoutant ceci:

     nom d'utilisateur ajouté : mot de passe lui correspondant

  1. poste02 : poste02
  2. server : serverpassword

en reprenant le code xml existant pour bien faire.

Comme dit dans le premier post, ces apps ne peuvent tourner en SOLO mode. Il faut pour tester obligatoirement avoir préalablement installer OpenLaszlo sur son ordi, charger trois fenetres du naviguateur internet differentes (-mozilla firefox rocks - important à cause des coockies), et demander au serveur OpenLaszlo ces trois fichiers dans un browser different donc.

Ensuite, une fois toutes lancées séparements (j'insiste), ils se connecteront et afficheront deux lignes dans le debug, comme quoi ils sont loggés et connectés. Maintenant, on peut appuyer sur le premier bouton send message pour envoyer un message à tout le monde.

le premier combo affiche statiquement les possibles autres clients, suit en dessous la liste des canaux. Par quel canal veut on faire transiter le message.

Juste en dessous, une boite de saisie permet la saisie de message stupides, et en dernier, trois boites servant respectivement à envoyer un message à tout le monde, au serveur, et au client séléctionné dans le premier combo box.

Voici les fichiers.

server.lzx

client.lzx

client1.lzx

5 juin 2006

:: OpenLaszlo :: Connections Persistantes et Push de datas !!

Hahaaaaa!!!!! J'ai eu une idée ! Certes vraiment farfeleu l'idée ... je dirais même que c'est l'ultime solution, quand on veut un truc qui marche vite sous OpenLaszlo sans attendre qu'ils pondent une doc super bien faite comme ils ont plutôt l'habitude.

Notez que ce "concept" ne peut être utilisée qu'en mode proxied ( pas de déploiement SOLO donc ! )

Voici l'idée:

Avec le tag <connection /> on peut spécifier un group, et en envoyant un message à * en utilisant la fonction canvas.myconnection.sendMessage('*', 'a message', 'messages'); qui envoit donc un message à tout les utilisateurs du groupe auquel la connection est rattachée (notez qu'une connection par canvas/app est possible), contenant le texte "a message", et qui sera enregistré dans le dataset nommé messages.

Maintenant, disont que l'on ait une application OpenLaszlo qui sert, dont le nom d'utilisateur serait "server", qu'il appartiendrait au groupe "nomdapplication", et que les clients eux utilisent leur nom d'utilisateur comme valeur de l'attribute user, sans changer de groupe.

De cetta fâcon l'application cliente peut envoyer des messages à une application serveur (qui n'est autre qu'une application OpenLaszlo, qui peut être servit par PHP & MySQL ). Et le serveur pourra renvoyer des messages au client demandeur, et pas aux autres.

Ainsi on utilise toutes les possibilités offertes par OpenLaszlo, dessuite. Bien sûr vu le faible degrès de mise en échelle possible en premier lieu, il vaut mieux ne pas servir beaucoup d'applications, ou avoir un bon serveur.

Je vais donc me pencher sur cette idée, en y attachant des fonctions permettant d'envoyer les majs de contenus aux autres utilisateurs utilisants des ressources venant d'être modifiées par un autre utilisateur.

Celui-ci envoit sa demande de modification au serveur, en lui donnant l'id de la ressource, le type de ressource, et les nouvelles valeurs.

canvas.myconnection.sendMessage("server", "modifyRessource({ressourceid:"+givenRessourceID+","+
                                                                                    "typeofressourceid:"+typeofRessourceID+","+
                                                                                    "newvalues:{name:"+...

and so on.

Ici, l'application serveur recoit les données, comprend la metode que l'utilisateur veut executer, regarde s'il en a le droit auquel cas il l'execute, sinon renvoit un message de notification d'accès restreint ou autre. Il peut facilement être facile de déporter le coté administratif du programme sur ce programme serveur, en enregistrant les utilisateurs, leurs groupes et toutes autres données dans des données xml. Bien sûr c'est peu recommandé. Quoi que XPath est plutôt puissant, utilisant des expressions régulières pour les recherches. Mais celà consomme pas mal de temps processeur.

Veuillez postez vos commentaires sur http://www.openlaszlo-france.com/index.php?mod=forum&ac=voir&cat=2&id=19 merci :) sinon c'est pas bien grave :)

4 juin 2006

:: Thinking In Java Deuxieme Edition

Lien sur une traduction française du vraiment célèbre livre Thinking In Java, seconde édition.

Il règle pleins de problèmes d'incompréhension tellement il est clair sur les composantes définissant la programmation orienté objet, ainsi que sur le Java plus particulièrement.

Merci aux auteurs et encore plus aux traducteurs !! :D

http://penserenjava.free.fr/

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