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8 mai 2007

:: Méta & Quantique, êtes-vous liés ?

Ce post met en place certaines bijections que je pense vrai entre le monde aristotélicien et le monde "réel".

Il faut pour mieux le comprendre lire un article de Jérôme Legras consultable ici : http://esgs.free.fr/fr/art/jl1.htm

Il faut aussi bien comprendre les outils de la sémantique générale, que vous pouvez apprendre ici : http://esgs.free.fr/fr

Monde Aristotélicien (Aristote, Euclide, Newton)

Quantification : Toute chose peut avoir une valeur continue dans l’espace et le temps

            Ex : U=R*I indique des constantes, dans ce domaine, U, R et I ne changeront pas tant que l’un d’eux n’aura pas changer.

Dualité Onde Particule : en mécanique classique, onde et particule sont des concepts distincts.

Une onde n’est pas une particule et vice versa : la pierre tombe dans le lac et produit une onde. Le fuselage de l’avion produit une onde (un vertex) qui peut le déstabiliser si rien n’est fait contre ce sens.

Principe d’incertitude d’Heisenberg : une incertitude fondamentale empêche la mesure exacte simultanée de deux grandeurs conjugués (c’est oublier les SGBDR).

Il est notamment impossible d’obtenir une grande précision sur la mesure de la vitesse d’une particule sans obtenir une précision médiocre sur sa position, et vice versa. Cette incertitude est structurelle et ne dépend pas du soin que prend l’observateur à ne pas déranger le système. Elle constitue une limite à la précision de tout instrument de mesure.

Il faut ici comprendre qu’il est impossible de tout prendre en compte en un tout en un.

Le principe d’une nature qui joue aux dés : si l’évolution d’un système est bien déterministe (fonction d’onde régie par l’équation de Schrödinger), la mesure d’une observable  d’un système dans un état donné connu peut renvoyer aléatoirement une valeur prise dans un ensemble de résultats possibles.

L’observation influe sur le système observé : au cours de la mesure d’une observable, un système quantique voit son état modifié. Ce phénomène, appelé « réduction du paquet d’onde » , est inhérent à toute mesure et ne dépend pas du soin pris par l’observateur à ne pas déranger le système.

La non-localité ou intrication : des systèmes peuvent êtres intriqués de sortes qu’une interaction en un endroit du système a une répercussion immédiate en d’autres endroits. Ce phénomène contre dit en apparence la relativité restreinte pour laquelle il existe une vitesse limite de propagation de toute information, la vitesse de la lumière ; toutefois la non-localité ne permet pas de transférer de l’information.

La contra factualité : des évènements qui auraient pu se produire, mais qui ne se sont pas produits, influent sur les résultats de l’expérience.


Monde quantique (A. Kzerbosky) :

Quantification : indice

Dualité onde - corpuscule : Non-toutité - Non-identité

Principe d’incertitude : fondé sur le fait qu’il n’arrive pas à lier les choses de niveaux d’abstractions différentes. Ceci est rendu possible car :

Le système permet de créer une image à 4 dimensions d’un système (espace-temps-intension-extension) dans un contexte précis

            Le système permet d’aplatir l’image. Il existe un programme final réel établit, compilé, instancié qui représente un état donné seulement d’un système dans un contexte précis = c’est résoudre l’équation ? Le truc c’est que l’équation, étant dynamique, n’est pas écrite par avance mais construite par le moteur, qui réveille l’objet concerné. D’ailleurs c’est mm pas le moteur qui réveille l’objet concerné, mais quelque chose d’autreJ).

Principe d’une nature qui joue aux dés : je n’ai pas vraiment encore réfléchi à ceci, cependant, par induction je peux y voir quelque chose comme :

            L’utilisateur, premier facteur du S.I., utilise mal ce dernier (qui est un outil, qu’il faut par conséquent maîtriser pour en tirer pleine partie. Même si celui-ci reste très adaptable, il faut toutefois savoir comment lier les concepts entre eux, afin justement d’adapter le système, …c’est l’humain qui créer la circularité ? lol).

Observation influe sur le système observé : quand un utilisateur va demander à lire quelque chose, cela peut influer sur le système : logging, …

Non-localité, intrication : un système est une matrice à n-dimensions. Chaque dimension est un niveau d’abstraction, chaque sous niveau est un outil d’un niveau. Chaque lien représente un degré. Il peut y avoir une infinité de degrés. Une case d’une matrice peut se connecter à n’importe quel autre case : c’est le lien que créer l’utilisateur pour lier les concepts entre eux.

Suivant le type de lien, le comportement général et spécial est différent d’autre chose similaire (un autre lien de la même case vers une case différente).

Un lien représente un lien sémantique (parent, enfant, composition, agrégation, interface, …).

Contra factualité : des évènements qui auraient pu se produire, mais qui ne se sont pas produits.

En visualisant mon système en production, je peux imaginer cette image (conceptuelleJ): l’utilisateur pose une question mal formalisée au système. Celui-ci ne comprend pas vraiment et tente de trouver ce à quoi réfère la question : trouver la réponse.

En appliquant l’équation, le moteur renvoi une liste de possibilités de ce que souhaite l’utilisateur, en lui notifiant par la même les mots qui ont été ou qui peuvent mal avoir été interprétés par le S.I. (fonction heuristique).

En d’autres termes, cette notion découle un peu du facteur humain, ou pas :

Suivant la question, le système donne des réponses qui ne peuvent être classés que par leur pertinence directement en rapport avec la question, formalisée par l’utilisateur  qui est en général un humain.

            

C’est bien notre vision du monde qui est Aristotélicienne. Le monde lui est bien quantique.

Toute chose est quantique.

Il faut réapprendre à voir les choses suivant la vrai nature des choses. Tout est quantique.

C’est juste notre perception de l’instant, et cette non prise en compte de l’espace-temps qui nous à conduit à ne pas prendre en compte la transformation des choses.

Ce point de vue, en l’utilisant comme base de tout programme permet d’en rendre la conception facilement. C’est ce que réalise Microsoft avec son cadre applicatif .Net dans sa version 3.

En effet ce dernier permet de lier des composants d’applications entre eux d’après leur version. C’est le rôle de l’Assembly d’organiser le programme comme indiqué dans son code.

L’Assembly est un composant du cadre applicatif inventé par Microsoft.

En généralisant ce concept à tout, ils permettent de créer un programme qui peut être plus que ce que veut bien le programmeur.

En croisant les éléments entre eux, ont peut créer une matrice, représentant tous les degrés d’utilisation possibles des éléments les uns avec les autres.

De cette manière, et grâce au paradigme objet (héritage, polymorphisme et certaines manières de programmer mises en place dans des méta modèles plus dans le moteur pour générer à la voler le S.I. suivant les désires de l’utilisateur), on peut générer des objets qui auront des comportement eux aussi générés. Il doit toutefois être possible de ré implémenter la chose et même de la spécialiser, etc.

Ca, c'est comment on réalise l'informatique de demain.

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